Description originale
Aublet, J. B. C. Fusée 1775. Histoire des plantes de la Guiane françoise, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur différens objets intéressans, relatifs à la culture et au commerce de la Guiane françoise, et une notice des plantes de l'Isle-de-France. Pierre-François Didot jeune, Londres, Paris. 4 volumes.

 

Statut pour la Guyane française
Aublet, J. B. C. Fusée 1775. Histoire des plantes de la Guiane françoise, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur différens objets intéressans, relatifs à la culture et au commerce de la Guiane françoise, et une notice des plantes de l'Isle-de-France. Pierre-François Didot jeune, Londres, Paris. 4 volumes. [GF = N]

 

Source de la synonymie
Maas, P. J. M. 1985. 192. Musaceae (including 190. Strelitziaceae and 191. Heliconiaceae). In: Görts-van Rijn, A. R. A. [Ed.]. Flora of the Guianas. Series A: Phanerogams Fascicle 1. Koeltz Scientific Books, Koenigstein: 1-28. [CD_REF = 447822] Heliconia psittacorum L.f., 1782

 

Source de la synonymie
Funk, V., Hollowell, T., Berry, P., Kelloff, C. & Alexander, S. N. 2007. Checklist of the Plants of the Guiana Shield (Venezuela: Amazonas, Bolivar, Delta Amacuro; Guyana, Surinam, French Guiana). Contributions from the United States National Herbarium, 55: 1-580. [CD_REF = 447822] Heliconia psittacorum L.f., 1782

 

Date de publication : Hist. Pl. Guiane, 2: 931. 1775 [06-12/1775, fide TL-2, 206].

Nomenclature : Musa humilis Aubl., Hist. Pl. Guiane, 2: 931. 1775, nom. utique rej.
Voir proposition de rejet par par L.Andersson, Taxon, 33(3): 524[-525]. 08/1984; et décision du comité pour les Spermatophytes in R.K. Brummitt, Taxon, 36(4): 734-739. 11/1987.

Type : "4. Musa (humilis) vasculis coccineis, quinque aut sex-floris; fructu trigono, violaceo.
Bihai cannacori folio angustiore & acuminato; florum vasculis angustis, coccineis.
Cette plante est connue sous le nom de Petit Balisier. Elle croît abondamment dans les savanes de la crique fouillée de l'île de Caïenne, & dans celles de la Guiane." [protologue].
Guyane française, 07/1762-07/1764, J.B.C. Fusée Aublet s.n. (LT: BM000923868 [sur Global plants; désigné par L.Andersson, Taxon, 33(3): 524[-525]. 08/1984]).
Origine inconnue [côte caraïbe du Venezuela?], cultivé à Vienne, Jacquin s.n. (non type: t. 48-49 in Jacq., Pl. Hort. Schoenbr., 1: 23-24. 1797 [fide TL-2, 3255][Heliconia bihai (L.) L. 1771, voir Andersson 1981; désigné comme lectotype de "Heliconia humilis Jacq. 1797" de manière illégitime par L. Andersson, Nordic J. Bot., 1(6): 765. 1981]).
D'après L.Andersson (Taxon, 33(3): 524[-525]. 08/1984): "In 1797, Jacquin made the recombination Heliconia humilis, citing M. humilis Aubl. in synonymy. Erroneously but generally, this has been considered a new name (e.g. Index Kewensis, Andersson, 1981: 765). Jacquin provided a detailed description and an excellent illustration of a plant quite unrelated to H. psittacorum. The taxonomic interpretation of this Jacquinian plant may be debated, but it clearly belongs to the sect. Heliconia of subgen. Heliconia, whereas H. psittacorum belongs to subgen. Stenochlamys Baker. I consider the Jacquinian plant as a Venezuelan lowland morphotype of H. bihai (L.) L. (Andersson, 1981: 768-769). The impact of a good illustration is powerful: the name H. humilis has ever since been used in the Jacquinian sense, the only exception being Aristeguieta (1961), who used it for another species of sect. Heliconia, viz. H. stricta Huber (cf. Andersson, 1981: 776). The morphotype illustrated by Jacquin is commonly cultivated in tropical gardens, mostly under the name "Heliconia humilis Jacq." (cf., for example, Graf, 1963, 1978)."