Taxonomie : Les analyses moléculaires (Kim
et al.
2015; Wu
et al.
2018; Huang
et al.
2019; Wells
et al.
2021) montrent que le genre
Laportea Gaudich. 1830, tel que défini par Chew (Gard. Bull. Singapore, 21(2):
187-
208. 31/05/1965; Gard. Bull. Singapore, 25(1):
111-
178. 04/10/1969), est profondément polyphylétique.
Laportea aestuans (L.) Chew 1965,
L. interrupta (L.) Chew 1965 et
L. ruderalis (G.Forst.) Chew 1965 forment une lignée soeur du clade d'
Urera et donc largement indépendante de
Laportea s. str. En conséquences ces espèces doivent réintégrer le genre
Fleurya Gaudich. 1830 dans lequel elles étaient traditionnellement classées avant 1965.
Taxonomie : Les analyses moléculaires (Kim
et al.
2015; Wu
et al.
2018; Huang
et al.
2019; Wells
et al.
2021) montrent que le genre
Laportea Gaudich. 1830, tel que défini par Chew (Gard. Bull. Singapore, 21(2):
187-
208. 31/05/1965; Gard. Bull. Singapore, 25(1):
111-
178. 04/10/1969), est profondément polyphylétique.