Galium anisophyllon Vill., 1779	99372

BIBLIO

Identification
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 1027

 

Identification (de Galium argenteum Vill., 1779)
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 1027

 

Source de la synonymie (de Galium argenteum Vill., 1779)
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 1027 [CD_REF = 99372] Galium anisophyllon Vill., 1779

 

Identification (de Galium tenue Vill., 1779)
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 1027

 

Source de la synonymie (de Galium tenue Vill., 1779)
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 1027 [CD_REF = 99372] Galium anisophyllon Vill., 1779

 

NOTES

Remarques : Taxon complexe offrant plusieurs modes de variation en Fr. Le premier, spectaculaire mais sans valeur taxonomique, correspond aux morphoses induites par le biotope : la plante peut être aussi naine que G. pseudohelveticum ou aussi robuste que les grands G. pumilum. Le second, interprétable comme une introgression par G. pusillum, se traduit par des feuilles étroites, coriaces, brillantes, à soie apicale proportionnellement longue : il s’agit du taxon villarsien G. argenteum [incl. G. tenue] qui constitue peut-être un intermédiaire distinct ; cette question reste à étudier. Enfin, l’isolat caussenard est original par son indument de papilles piliformes souvent denses et par son écologie supraméditerranéenne (200-1000 m) : à étudier également.
     Références : Tison et al. (2014)