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Fumaria barnolae Sennen & Pau, 1917

99050

BIBLIO
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
NOTES
Nomenclature : Il existe un problème nomenclatural : le matériel original de F. barnolae appartiendrait à F. bastardii (M. Espeut, comm. pers.), ce qui amènerait à nommer l’espèce, F. bella, nom particulièrement approprié (J.-M. Tison, com. pers.)
Remarques : Décrit par les auteurs comme un hybride Fumaria major x F. officinalis
Taxonomie :

Amalgamé dans les anciennes Flores avec F. agraria Lag., taxon SO-médit. à corolle encore plus grande (→ 17 mm), blanche au début, virant généralement au rose comme chez F. bicolor, et à fruits → 3,5 mm ; ce dernier est cependant signalé authentiquement par Lidén (loc. cit.) sur le littoral de Provence occidentale où il a pu être introduit, mais des confusions sur anciens exsiccata ne sont pas exclues. La variabilité de la plante, notamment des pédicelles, des sépales et des fruits, l’a ensuite fait inclure dans F. gaillardotii Boiss. (E-médit. ?) que Lidén (loc. cit.) en considère lui-même comme peu ou pas distinct. En fait, les seuls marqueurs fiables de ce dernier semblent être le nombre chromosomique 2n = 112 (vs 80 chez F. barnolae), la dominance des variants cléistogames, sauf parfois en début de saison, et la forme plus large de l’éperon (L/l = 1-1,3, vs 1,2-1,6) ; il arrive que des pl. françaises aient ± son apparence, par exemple dans le Roussillon, mais il semble plutôt s’agir de malformations. (J.-M. Tison, com. pers.)

DIFFUSION

Première diffusion v2.0