Taxonomie
Howard, R. A. 1983. The plates of Aublet's Histoire des Plantes de la Guiane Francoise. Journal of the Arnold Arboretum, 64(2): 255-292.

 

Source de la synonymie
Molino, J.-F., Sabatier, D., Grenand, P., Engel, J., Frame, D., Delprete, P. G., Fleury, M., Odonne, G., Davy, D., Lucas, E. J. & Martin, C. A. 2022. An annotated checklist of the tree species of French Guiana, including vernacular nomenclature. Adansonia, 44(26): 345-903. [CD_REF = 769922] Theobroma guianense (Aubl.) J.F.Gmel., 1792

 

Taxonomie
Colli-silva, M., Richardson, J., Bossa-castro, A. & Pirani, J. 2024. Phylogenetic evidence reshapes the taxonomy of Cacao and its allies (Theobroma and Herrania; Malvaceae, Byttnerioideae). Brittonia, 76(1): 53-61.

 

Date de publication : Repert. Pharm., 35(1.1): [1-]23[-24]. 1830 [fide p. de titre].

Description originale : 5) Theobroma sylvestre Mart. Waldcacao.
Th. ramulis petiolisque tenuiter ferrugineo-tomentosis, foliis ovato-oblongis aut oblongis integerrimis basi cordata inaequalibus subtus tenuissime cano-tomentosis, floribus axillaribus solitariis, baccis ovatis obscure pentagonis testaceis.
Meine Pflanze hat die grösste aehnlichkeit mit Aublet's Abbildung von Cacao sylvestris, so dass ich der von Willdenow (spec. pl. III. S. 14. 23.) geäusserten Meinung, als sey jene Pflanze die Duroia eriopila L., nicht beistimmen kann. Wächst in Rio Negro. [Ma plante ressemble le plus à la figure d'Aublet du Cacao sylvestris, de sorte que je ne peux pas être d'accord avec l'opinion exprimée par Willdenow (in Sp. Pl. (ed. 4), 3(2): 1423. 01-10/11/1802, fide TL-2, 17658) que cette plante est le Duroia eriopila L. Pousse au Rio Negro.]

Type : Le statut de ce nom, espèce nouvelle ou recombinaison de Cacao sylvestris Aubl., semble extrêmement délicat à établir et est sujet à controverses... Si Martius semble décrire une espèce nouvelle du Rio Negro, son utilisation de l'épithète d'Aublet est loin d'être dénué de signification... Son commentaire sur le fait que le Cacao sylvestris d'Aublet n'est pas un Duroia apparait dès lors comme une justification implicite de son transfert dans le genre Theobroma! Pour statuer définitivement sur ce problème (ayant des conséquences nomenclaturales significatives!), il faudrait sans doute commencer par reprendre la globalité de l'article de Martius (en allemand!) afin de contextualiser plus finement le protologue...