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Avena fatua L., 1753

85250

BIBLIO
 
 
 
 
 
 
NOTES
Lectotype :
  • (LINN-95.9) LT designated by Hubbard in Milne-Redhead & Polhill (ed.), Fl. Trop. E. Africa, Gramineae 1: 82 (1970)

     Références : Tropicos (1980-)
Plan national d'action Espèce : 2012-2017, Direction de l’Eau et de la Biodiversité au Ministère chargé de l’Environnement
     Références : Cambecèdes et al. (2012)
Remarques :

Il existe 2 à 4 autres sous-espèces selon les auteurs ; 2 sont connues comme facilement naturalisables à l’échelon mondial, donc peut-être en Fr. dans l’avenir : subsp. septentrionalis (Malzev) Malzev [A. hybrida Peterm.], taxon asiatique à cicatrice plus allongée (L/l = 1,3-1,6) et à épillets souvent 3-4-flores ; subsp. meridionalis Malzev [A. occidentalis Durieu], taxon S-médit. à cicatrice encore plus allongée (L/l = 1,6-2) et à glumes > 25 mm de long. La 1re a été indiquée en Fr. mais d’après des caractères peu fiables (lodicule, pilosité des noeuds) ; Scholz (loc. cit.) n’en cite pas d’exemplaire européen.


     Références : Tison et al. (2014)
Taxonomie : Il y a une incertitude sur l'application du nom de Linné, Berand Baum, qui à fait une révision du groupe en 1977, a typifié le nom Avena fatua (en 1974) sur la base de l'échantillon LINN 95.9. En 1991 il à proposé la conservation d'un type (Keck 3494) (en fait une proposition de changement du type) car, à ses yeux, l'échantillon de Linné correspondrait à Avena septentrionalis et non pas à l'usage habituel d'Avena fatua. Cette proposition de conservation du type n'a pas été recommandée par le Committee for Spermatophyta (Brummitt 1994), car selon les avis des membres, divers auteurs ne distinguent pas Avena septentrionalis (ou A. hybrida) de A. fatua et qu'il s'agissait alors d'un point de vue taxonomique minoritaire.
     Références : Baum (1991)

DIFFUSION

Première diffusion v2.0