Taxonomie :
Les
récentes études phylogéniques de Liberal
et
al.
(BMC
Evol. Biol.
14,
146, 2014) et d’Ogutcen
& Vamosi
(Am.
J. Bot.
103(6),
1-11, 2016) montrent que les liens entre les espèces n’ont rien à
voir avec leur morphologie : en France, la plus proche d’A.
majus
est A.
sempervirens,
alors qu’A.
latifolium,
A.
tortuosum
et A.
barrelieri
sont distribués dans des groupes génétiquement
éloignés ; sur cette base, il n’y a pas lieu de maintenir
une espèce collective A.
majus
comme proposé dans l’édition 1 du présent ouvrage, à moins d’y
inclure la totalité du genre. (J.-M. Tison, com. pers.)