Description originale
Linnaeus, C. 1753. Species plantarum, exhibentes plantas rite cognitas, ad genera relatas, cum differentiis specificis, nominibus trivialibus, synonymis selectis, locis natalibus, secundum systema sexuale digestas. Holmiæ. (L. Salvii). Tomus II: 561-1200. : 617

 

Statut pour la Nouvelle-Calédonie
Mackee, H. S. 1994. Catalogue des plantes introduites et cultivées en Nouvelle-Calédonie. Deuxième édition. Flore de Nouvelle-Calédonie et Dépendances. Muséum national d'Histoire naturelle, Paris. Hors-série: 164 pp. [NC = ]

 

Statut pour la Nouvelle-Calédonie
Hequet, V., Le Corre, M., Rigault, F. & Blanfort, V. 2009. Les Espèces Exotiques Envahissantes de Nouvelle-Calédonie. IRD, AMAP, Nouméa. 87 pp. [NC = ]

 

Statut pour la Nouvelle-Calédonie
Hequet, V. & Le Corre, M. 2010. Révision du catalogue des plantes introduites de H.S. MacKee (1994). Rapport expertise, IRD, Nouméa. 219 pp. [NC = ]

 

Statut pour la France métropolitaine
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. [FR = N]

 

Nom de remplacement (de Antirrhinum murale Salisb., 1796 [nom. illeg. superfl.])
Salisbury, R.A. 1796. Prodromus Stirpium in horto ad Chapel Allerton vingentium. Londini. 422 pp. : 98

 

Nom de remplacement (de Antirrhinum vulgare Bubani, 1897 [nom. illeg. superfl.])
Bubani, P. & Penzig, O. 1897. Flora Pyrenaea per ordines naturales gradatim digesta, Volumen 1, Opus posthumum editum. Mediolani, U. Hoeplius. 551 pp. : 324

 

Lectotype : LT : (LINN-767.58) LT designated by Sutton, Regnum Veg. 127: 19 (1993)
     Références : Tropicos (1980-)

Taxonomie : Les récentes études phylogéniques de Liberal et al. (BMC Evol. Biol. 14, 146, 2014) et d’Ogutcen & Vamosi (Am. J. Bot. 103(6), 1-11, 2016) montrent que les liens entre les espèces n’ont rien à voir avec leur morphologie : en France, la plus proche d’A. majus est A. sempervirens, alors qu’A. latifolium, A. tortuosum et A. barrelieri sont distribués dans des groupes génétiquement éloignés ; sur cette base, il n’y a pas lieu de maintenir une espèce collective A. majus comme proposé dans l’édition 1 du présent ouvrage, à moins d’y inclure la totalité du genre. (J.-M. Tison, com. pers.)