Distribution : Hausmann & Viidalepp (2012 : 457) considèrent que les mentions
françaises les plus nordiques doivent être rattachées à la sous-espèce
anglica et ne représentent qu'un seul point évidé sur leur carte de répartition (le rond évidé signifie une présomption de disparition). Ce point correspond très probablement à l'unique citation française de l'espèce par Alphonse Lavallée en 1900 dans l'Essonne à Saint-Sulpice-de-Favières
(Mothiron, 2001 : [83]). Mothiron (2001) qualifie cette mention d'accidentelle et précise que Lavallée lui-même la considérait déjà comme erratique. L'erreur de détermination est fort peu probable (Gérard Luquet, comm. pers.) et il n'est finalement pas impossible de penser qu'à cette époque il pouvait encore exister de petites populations relictuelles de cette espèce boréo-alpine.
Références :
Hausmann & Viidalepp (2012)
,
Mothiron (2001)