Remarques :
La
subsp. ludoviciana
n’est pas reconnue par Baum
(Biosyst.
Res. Inst. Ottawa, Monogr.
14,
1977) qui se réfère seulement à la taille des épillets, non
nettement discriminante. En fait il s’agit plus probablement d’un
taxon hybridogène (A.
fatua
A.
sterilis)
que d’une sous-espèce de A.
sterilis
(in
Tison
et
al.,
Flore
de France méditerranéenne continentale,
Naturalia, 2014), ce qui justifierait un rang spécifique ; il existe
aussi des (rétro)croisements entre la subsp. ludoviciana
elle-même et A.
fatua,
mais ils ne sont actuellement confirmés qu’en Italie.
Références :
Tison et al. (2014)