Taxonomie : Müller
& al. (2019 : 316, 320) ne suivent pas Leraut (2009 : 120) et combinent, sans s'appuyer sur des caractères particuliers, le taxon
aurantiaria avec le genre
Agriopis, indiquant qu'une étude plus complète est nécessaire, et ce malgré, d'une part, des différences nettes dans les genitalia mâles et femelles entre les espèces
aurantiaria et
marginaria et l'espèce-type du genre
Agriopis (
leucophaearia) et, d'autre part, une distance génétique (barres-codes ADN) non négligeable (6 %) entre
marginaria et
leucophaearia. Nous suivons ici Leraut (2009) plutôt que Müller
& al. (2019) du fait des différences indiquées ci-dessus.
Références :
Leraut (2009)
,
Müller et al. (2019)