Description originale : "Testa fragilis, subopaca, nitidula corneo fulva, depressa, supra complanata subtectiformis, subtus albidula, convexiuscula, striis minutissimis confertisque ornata ; anfract. 6 subplanis, lente ac regulariter crescentibus, ultimi ab ortu subcarinato, in extrema parte rotundato, non declivi ; sutura sat impressa ; umbilico permagno (1 1/2 ad 1 5/6 in diametre) dimidium partem ambitus ostendente ; apertura perobliqua transverse rotundata, marginibus non convergentibus : peristomate interrupta, acuto margine superiore recto, subitum reflexo, margine inferiore parum rotundato non reflexo, longiore quam superiore D ; = 6mm5 ; Altit. 2mm75.
Coquille déprimée, plutôt aplatie en dessus, que légèrement tectiforme, très peu bombée en dessous. Test légèrement brillant, corné fauve en dessus, blanchâtre en dessous, fragile, orné de stries très fines et très serrées, presque opaque ; 6 tours de spire presque plats, croissant lentement et progressivement, le dernier subcaréné à sa naissance, arrondi à son extrémité, non déclive, suture bien nette ; ombilic relativement grand (1 1/2 à 1 5/6mm de diamètre) laissant voir la moitié du développement ; ouverture très oblique, arrondie, transverse, à bords non convergents; péristome interrompu, tranchant ; bord supérieur droit, s'infléchissant brusquement; bord inférieur plus long que le supérieur fort peu arrondi, non réfléchi."
Références :
Caziot (1903)
Identification : "Elle diffère de la
Hyalinia nitens par ses dimensions, le mode de développement de ses tours de spire, son ombilic non évasé ; de la
Hyalinia stilpna par le nombre plus grand de ses tours de spire, son ombilic non évasé, l'obliquité de son ouverture ; de la
Hyalinia lenaploa, par la forme plus aplatie, le nombre de ses tours de spire, dont le dernier n'est pas plus grand proportionnellement ; de la
Hyalinia Bourgeti, par le nombre de ses tours de spire, leur mode de développement, etc."
Références :
Caziot (1903)
Localité type : "Ajaccio, dans les interstices des vieux murs, dans les jardins de la gendarmerie, en se dirigeant vers la chapelle funéraire."
Références :
Caziot (1903)