Variabilité maximale dans les biotopes primaires méditerranéens, qui constituent l’aire d’indigénat de l’espèce, mais sans structuration géographique ni hiatus ; on a ainsi distingué une « subsp. merinoi », à graines munies de tubercules ± confluents en crêtes transversales (surtout dans les pelouses à thérophytes de Provence siliceuse), et une « var. truncata », à feuilles tronquées à tricuspides imitant celles de E. sulcata (surtout en garrigues calcaires), toutes 2 paraissant sans grande signification taxonomique.