Heracleum sphondylium f. trisegmentatum Reduron, 2007 accepté comme Heracleum sphondylium subsp. elegans (Crantz) Schübl. & G.Martens, 1834	613788

BIBLIO

Source additionnelle
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 352

 

Source de la synonymie
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 352 [CD_REF = 135297] Heracleum sphondylium subsp. elegans (Crantz) Schübl. & G.Martens, 1834

 

NOTES

Taxonomie : Les « formes » décrivent la variabilité des feuilles : ± lobées (f. latilobulatum), 3-partites (type de la sous-espèce), 3-séquées à segments ultimes à L/l < 2 (cas le plus fréquent en Fr., f. trisegmentatum), ou à L/l = 2-3 (f. angustifolium), ou à L/l > 3 (f. angustissimum). Dans le Jura, les individus à feuilles peu divisées se distinguent de H. alpinum par leurs lobes foliaires plus pointus, ceux à feuilles ternées des hybrides H. alpinum × H. sphondylium par leur tendance à former des colonies autonomes, alors que les hybrides sont généralement isolés inter parentes. On peut aussi rencontrer des plantes à feuilles couvertes d’un feutrage blanchâtre à la face inférieure comme chez H. pyrenaicum (non nommées ici). Au-delà de ces variations mineures mais génératrices de confusions, il pourrait exister une différenciation géographique plus solide : à étudier notamment par voie moléculaire.
     Références : Tison et al. (2014)