Impact données : Les travaux de Ronkay et al. 2023 montrent l'existence en France d'une espèce proche d'Omia cymbalariae (Hübner, 1809) (localité type : Innsbruck, Tyrol, Autriche) qui se différencie par l'examen des pièces génitales mâles : Omia albertlegraini L. Ronkay, G. Ronkay & Landry, 2023 (localité type : forêt de Benon, Charente-Maritime, France). Dans l'état actuelle des connaissances O. cymbalariae semble cantonnée en altitude dans les Alpes. Sa présence en France dans les Alpes en altitude est confirmée (E. Drouet com. pers.). Il est nécessaire d'examiner tous les spécimens en collection afin de clarifier la répartition en France de ces deux espéces, notamment ceux dont l'origine est localisée en dehors des Alpes. Il faut aussi vérifier les spécimens alpins car une autre espèce, O. bangaasi Stauder, 1930 peut être présente dans le sud du massif. En attendant, toutes les données dont les spécimens en collection n'ont pas été examinés doivent être considérer comme douteuses (pour plus d'information : https://oreina.org/artemisiae/index.php?module=actu&action=article&idactu=54).
Impact données : Après la description des taxons
rosseti Nel & Varenne, 2024 et
lebihani Nel & Rosset, 2024, nous pensons que l'étude du complexe
albertlegraini/cymbalariae/lebihani/rosseti demande des études de phylogénie moléculaire supplémentaires. Tous les spécimens en collection déterminés comme
cymbalariae doivent être examinés au niveau des pièces génitales. Toutes les données sans spécimens associés doivent être considérées comme douteuses.