Prunus spinosa var. fruticans (Weihe) Coss. & Germ., 1861	150303

BIBLIO

Identification
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 995

 

Identification (de Prunus x fruticans Weihe, 1826)
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 995

 

Source de la synonymie (de Prunus x fruticans Weihe, 1826)
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 995 [CD_REF = 150303] Prunus spinosa var. fruticans (Weihe) Coss. & Germ., 1861

 

NOTES

Remarques : La var. fruticans est souvent considérée comme un hybride [P. domestica s.l. × P. spinosa]. Cependant, les données génétiques disponibles ne la séparent pas de P. spinosa et les analyses morphométriques ne l’en distinguent globalement que par les caractères du noyau, bien qu’il existe souvent d’autres différences à l’échelon local (Depypere et al., Pl. Syst. Evol. 279, 219-231, 2009). Les différences apparentes pourraient être dues à une écologie plus mésophile (écotype) et/ou à une ancienne sélection par l’homme. Un grand prunellier n’appartient pas forcément à la var. fruticans : ce nom est à réserver aux plantes à gros fruits (Depypere et al., loc. cit. ; Depypere et al., Annals Bot. 100, 1585-1597, 2007). Ceci mis à part, les analyses prouvent aussi l’existence de quelques rares plantes authentiquement hybrides : cette question reste donc d’actualité.
     Références : Tison et al. (2014)