Taxonomie :
Le
découpage infraspécifique de Ph.
australis
n’est pas soutenable dans l’état actuel des connaissances,
compte tenu de sa radiation génétique considérable sur l’ensemble
de son aire (Gorenflot
et
al.,
Webbia
38,
715-721, 1984 ; Lambertini
et
al.,
Pl.
Syst. Evol.
258,
161-182, 2006). À l’échelon français, on a souvent distingué
des morphotypes communs de 8-40 dm, à inflorescence violacée,
tétraploïdes (type de l’espèce), et des morphotypes
méditerranéens de 8-80 dm, à inflorescence jaunâtre, octoploïdes
(parfois nommés « subsp.
chrysanthus »).
Références :
Tison et al. (2014)