Taxonomie :
Le
traitement suivi ici est issu des travaux de Küpfer
(Boissiera
23,
60-72, 1974) ; les marqueurs biométriques des cytotypes, si
discrets soient-ils, s’avèrent solides à l’usage, alors que le
tomentum spectaculaire de la « subsp. alpicola »
varie individuellement selon un gradient continu et se retrouve même
chez des populations de plaine. En conséquence, nous sommes
défavorables au schéma inverse consistant à séparer la subsp.
alpicola
et à inclure les 2 cytotypes pyr. dans la variabilité de la subsp.
vallesiana
(Valdés
& Scholz
in
Euro+Med : http://www.emplantbase.org/home.html).
Certains auteurs synthétisent ces 2 options en retenant 4
sous-espèces, ce qui prive l’ensemble de toute logique.
Références :
Tison et al. (2014)