Taxonomie :
G.
pumilum s.s. et le
taxon pyrénéen « G.
marchandii » n’ont
plus été comparés depuis Ehrendorfer
et al.
(in
Tutin
et
al.
(eds.), Flora
Europaea
4,
Cambridge University Press, 1976). Selon
ces auteurs, la différence porte sur l’armature des marges
foliaires apicales : aculéoles uniquement rétrorses chez G.
pumilum, tous ou en
partie antrorses chez G.
marchandii ;
sans parler des nombreux exemplaires à marges foliaires lisses, il
faudrait alors admettre que les 2 taxons sont sympatriques dans toute
la Fr., ainsi que dans les Pyr. espagnoles où G.
pumilum n’existe
pas (selon Ortega
& Devesa in
Devesa
et al.
(eds.), Flora Iberica
XV,
Reál Jardín Botánico, Madrid, 2007). Compte tenu de leurs nombres
chromosomiques égaux (2n
= 88) et de leurs morphologies par ailleurs similaires et très
variables (y compris chez « G.
marchandii » :
Devesa
et al.,
loc. cit.),
aucune séparation n’est actuellement possible.
Références :
Tison et al. (2014)