Morphologie :
La
« subsp. costei »
correspond aux plantes à sclérenchyme ± interrompu sur les flancs,
par opposition au type à sclérenchyme ± continu ; motivée à
l’origine par une hypothèse introgressive (Auquier
& Kerguélen,
loc.
cit.),
elle est infirmée par son absence d’individualité écologique,
géographique et caryologique, et par le fait que bon nombre
d’exemplaires semblent capables de produire les 2 types de
feuilles ; même s’il existe une population bien connue à
sclérenchyme interrompu dans la vallée de l’Ardèche, ce
phénomène reste ponctuel et doit plutôt être considéré comme la
variabilité normale de l’espèce.
Références :
Tison et al. (2014)