Taxonomie :
Le
polymorphisme des fruits se traduit par 2 morphes possibles : l’une
à limbe calicinal développé et à loges stériles atrophiées
(type de l’espèce), l’autre à limbe calicinal atrophié et à
loges stériles développées (« V.
pumila », cf.
6) ;
les hybrides (« V.
cupulifera »)
sont exceptionnels en raison de l’autogamie quasi obligatoire, la
fécondation s’effectuant généralement dans le bouton (Martin
& Mathez,
loc. cit.).
Références :
Tison et al. (2014)