Taxonomie
Brugel E., 2012. Préservation de Saxifraga rosacea Moench en Franche-Comté. Proposition d’un plan de conservation. Conservatoire botanique national de Franche-Comté – Observatoire régional des Invertébrés. Union européenne (fonds FEDER), Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement de Franche-Comté, Conseil régional de Franche-Comté. 32 p. + annexes.

 

Identification
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 1049

 

Identification (de Saxifraga cespitosa auct. non L., 1753)
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 1049

 

Source de la synonymie (de Saxifraga cespitosa auct. non L., 1753)
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 1049 [CD_REF = 121176] Saxifraga rosacea Moench, 1794

 

Source de la synonymie (de Saxifraga groenlandica auct. non L., 1753, sensu P.Fourn., 1936)
Euro+Med (2006-): Euro+Med PlantBase - the information resource for Euro-Mediterranean plant diversity.Published on the Internet http://ww2.bgbm.org/EuroPlusMed/ [accessed october 2013]. [CD_REF = 121176] Saxifraga rosacea Moench, 1794

 

Identification (de Saxifraga groenlandica auct. non L., 1753, sensu P.Fourn., 1936)
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 1049

 

Source de la synonymie (de Saxifraga groenlandica auct. non L., 1753, sensu P.Fourn., 1936)
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 1049 [CD_REF = 121176] Saxifraga rosacea Moench, 1794

 

Taxonomie : ​Les sous-espèces présentes en Fr. ont été identifiées génétiquement (Elvinger ex Brugel et al., Préservation de Saxifraga rosacea Moench en Franche-Comté, CBNFC, 2012) ; il s’agit de cytotypes distincts (2n = 8x pour la subsp. rosacea, 6x pour la subsp. sponhemica) et séparés par leurs préférences écologiques, le 2^e étant plus tolérant à la chaleur (Decanter et al., Amer. J. Bot. 107, 423-435, 2020) ; un rang spécifique n’est pas exclu, notamment si la subsp. rosacea est d’origine hybride, mais c’est à ce jour une simple hypothèse. On rencontre parfois des cultivars proches de S. rosacea et éventuellement capables de s’échapper mais leur identité serait à vérifier. (J.-M. Tison, comm. pers.)