Les
mentions historiques de cette espèce dans la presqu’île de
Saint-Tropez étaient des confusions avec R.
arnaudii
selon Moret
(loc.
cit.) ;
les stations découvertes à partir de 2015 par H. Michaud
et Y.
Morvant
paraissent issues de semis plus récents : la plante
est très dynamique et dispose probablement d’un potentiel invasif en termes de vitesse de propagation, sans
toutefois nuire à la végétation indigène. (J.-M. Tison, comm. pers.)