Infraspécificité
à revoir compte tenu de l’imbroglio génétique de la sect.
Alaternus
(Hauenschildet
al.,
Taxon65,
65-78, 2016).
En Fr., les populations des sites les plus chauds et les plus secs
montrent souvent une tendance à la réduction des feuilles ; dans
les cas les plus extrêmes (Roussillon), on observe des écotypes à
flles de 5-12 mm, parfois en grandes colonies et à proximité
de populations normales, d’où des citations de l’esp. SO-méditerranéenne
Rh.
myrtifolia
Willk. [Rh.
alaternus
subsp. myrtifolia
(Willk.) Maire].
Cependant, cette dernière en diffère par ses feuilles (sub)entières à
0-3 paires de nervures secondaires (vs régulièrement
denticulées à 2-5 paires de nervures secondaires) et ne dépasse pas
l’Andalousie vers le N (Rivas
Martínez & Pizarro in Muñoz
Garmendiaet
al.
eds., Flora
Iberica IX,
Reál
Jardín Botánico, CSIC, Madrid,
2015).
Sous leurs aspects extrêmes, ces alaternes à petites feuilles ont
peut-être induit aussi des mentions erronées de Rh.
oleoides.(J.-M. Tison, comm. pers.)