​Taxon réévalué récemment (Magrini & Scoppola, Phytotaxa 230 (3) : 259-266, 2015), isolé par son nombre chromosomique, ne paraissant pas se croiser avec V. kitaibeliana car aucun tétra- ou octoploïde n’est connu dans ce groupe ; sa polyploïdie s’accompagne d’une spécialisation éco-géographique mais sans différenciation morphologique ; en l’absence de preuve moléculaire de son originalité, il pourrait s’agir d’un autopolyploïde et son rang spécifique reste donc affaire de point de vue. (J.-M. Tison, comm. pers.)