Description originale
Linnaeus, C. 1753. Species plantarum, exhibentes plantas rite cognitas, ad genera relatas, cum differentiis specificis, nominibus trivialibus, synonymis selectis, locis natalibus, secundum systema sexuale digestas. Holmiæ. (L. Salvii). Tomus II: 561-1200. : 785

 

Statut pour la France métropolitaine
Béguinot, J. 2012. Investigations sur la faune cécidogène d'altitude dans le Parc National des Ecrins. Bulletin Mensuel de la Société Linnéenne de Lyon, 81(5/6): 87-116. [FR = N]

 

Identification
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 788

 

Identification
Tison, J.-M. & de Foucault, B. [coord.] 2014. Flora Gallica. Flore de France. Biotope Éditions, Mèze. xx + 1196 pp. : 789

 

Source de la synonymie (de Hypericum plasonii Formánek, 1897)
Euro+Med (2006-): Euro+Med PlantBase - the information resource for Euro-Mediterranean plant diversity.Published on the Internet http://ww2.bgbm.org/EuroPlusMed/ [accessed october 2013]. [CD_REF = 103316] Hypericum perforatum L., 1753

 

Nom de remplacement (de Hypericum vulgare Bubani, 1901 [nom. illeg. hom. et superfl.])
Bubani, P. & Penzig, O. 1901. Flora Pyrenaea per ordines naturales gradatim digesta, Volumen 3. Mediolani, U. Hoeplius. 431 pp. : 345

 

Nom de remplacement (de Hypericum vulgare Lam., 1779 [nom. illeg. hom. et superfl.])
Lamarck, J.-B. P. A. de M. de 1779. Flore françoise ou description succincte de toutes les plantes qui croissent naturellement en France, Tome troisième. Paris, de l'Imprimerie royale. 654 pp. : 151

 

Lectotype : LT: ; ; (LINN-943.34) LT designated by Robson, Fl. Iran. 49: 17 (1968), [as 943.94]
     Références : Tropicos (1980-)

Taxonomie : Le maintien fréquent de 3 taxons est une erreur (CICCARELLI et al., Atti Soc. Tosc. Sci. Nat., Mem., ser. B, 109, 1-4, 2002). En revanche, d’après KOCH et al. (Annals Bot. 111, 1083-1094, 2013) , les 2 sous-espèces O-européennes représentent 2 lignées génétiquement bien distinctes, chacune incluant des populations di- et autotétraploïdes morphologiquement ~ inséparables. Cependant, ces auteurs précisent qu’elles s’hybrident souvent et qu’une détermination correcte au niveau subspécifique doit prendre en compte à la fois des critères morphologiques, cytologiques et génétiques, ce qui limite l’aspect pratique de ce découpage. Le caractère concernant la morphologie des pétales (glandes laminaires noires chez la subsp. perforatum et non chez la subsp. veronense) ne semble pas fonctionner en France " (J.-M. Tison, com. pers.)