Les populations de Lus et de Lezoux, naguère importantes, sont indiscutablement naturelles et ont l’apparence de G. imbricatus normaux ; celle de Felon, réduite à 1 touffe, a une morphologie peu typique (parfois 5 feuilles, fleurs relativement espacées, multiplication végétative assez rapide) et il est difficile de savoir si c’est une relicte en limite d’extinction ou au contraire une occasionnelle. Toutes 3 seraient en fait des hybrides fixés (G. imbricatus × G. palustris ? cf. Daco, Étude phylogénétique et phylogéographique de Gladiolus palustris et Gladiolus imbricatus à l’aide de marqueurs nucléaires ITS, Stade de Master, Muséum d’Histoire Naturelle de Luxembourg, 3 janvier-27 mai 2011).​