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[ Mot de passe perdu ]


Geranium purpureum Vill., 1786

100132

BIBLIO
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
NOTES
Taxonomie :

La séparation spécifique de ce taxon diploïde est justifiable par le caractère présumé allotétraploïde de G. robertianum (Yeo, Bot. J. Linn. Soc.67, 314, 1973) mais leur distinction est parfois difficile. Les hybrides sont assez facilement  formés aux points de contact mais stériles. Le découpage de G. purpureum proposé par Bomble (Veröff. Bochumer Bot. Ver.8, 76-99, 2016) paraît excessif, d’autant plus qu’il ne concerne qu’un petit territoire où l’espèce n’est pas indigène ; cet auteur distingue au rang spécifique G. purpureum s.s. (calices à poils < 2 mm, pétales purpurins), G. urbanum (calices à poils > 2 mm, pétales rose terne) et G. alboroseum (calices à poils > 2 mm, pétales rose pâle ou blanc rosé). En France, des plantes identiques à G. alboroseum sont parfois remarquées dans le N où G. purpureum est également naturalisé (B. Toussaint, C. Monein, comm. pers.) ; l’apparition spontanée d’une telle plante a été remarquée en 2019 dans une station belge récente de G. purpureum (I. Hoste, comm. pers. ; det. W. Bomble). Il s’agit donc sans doute de simples mutants sélectionnés par la présence ou l’absence d’un pollinisateur spécifique, ou simplement par autogamie. (J.-M. Tison, comm. pers.).

DIFFUSION

Première diffusion v2.0